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Sujet: « ce ne sont pas les êtres parfaits qui ont besoin d'amour, ce sont les imparfaits. » (m) (libre) Lun 14 Sep - 21:34 |
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free (c) doodily
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clyde hunter rowland
vingt et un an ; anglais ; luke grimes (durement négociable)
possessif - râleur - mystérieux
coureur de jupons - violent - manipulateur
petit + : Clyde ne sait pas ce qu’il souhaite, il change d’avis comme de chemises. Il est gaucher. Il est défoncé H24. Il n'aime pas le chocolat. Il porte des lentilles. A vous de voir la suite
L’histoire de Clyde, c’est comme vous voulez. Il a juste vécu toute son enfance à Oxford ;)
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There's nothing like you and i.« le manque de sincérité est-il une chose si terrible ? C'est simplement une méthode qui nous permet de multiplier nos personnalités. » ▬ Les deux jeunes inaccessibles se sont rencontrés lors d'un squat à Oxford. Ils s'étaient repérés de bien loin, dans ce 2000 mètres carrés, puis ils ont passé une nuit enflammée, avant de faire plus ample connaissance. Seulement leurs caractères les ont obligés à ne pas être fidèles, à se tromper, se mentir et à ne rien officialiser. Un an après, Darcy était sous son charme, et lui avoue qu'elle l'aime. Par peur, Clyde s'enfuit chercher le lit d'une autre jeune demoiselle, ressemblant étrangement à la jeune anglaise. Vexée, humiliée Darcy décida de s'en aller, loin, loin d'Oxford. Par la suite, Clyde avait quelques remords -chose rare de sa part, et décida d'aller là où elle logeait. Une fois sur place il ne sait pas quoi faire, dire, penser. Ni même avouer la raison de sa venue, il dira probablement qu'il est venu ici pour voir ce drôle de monde décalé.
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- Spoiler:
DARCY - Putain Clyde ! Tu rigoles ? La jeune fille venait d’entrer dans l’appartement du jeune Clyde, le bel anglais aux milles et une conquêtes, celui qui hantait les rêves de toutes. Il paraissait l’homme parfait, ce qu’il n’était pas, et même loin de là, il était un homme violent, possessif, râleur ; et c’est probablement pour cela qu’il jetait les filles après une douce nuit, il avait peut-être peur. Pourtant, Darcy, la délurée, la mystérieuse était tombée raide dingue amoureuse de lui, elle qui n’avait encore jamais connu l’amour. C’est à dix-sept ans qu’elle s’en ai rendu compte. Et pourtant, l’amour de Darcy n’est pas chose aisé, c’est une femme lunatique, imprévisible, aussi bien chaude que froide ; et personne n’arrive à deviner ses pensées. Sauf Clyde. Il devinait tout et lisait la jeune anglaise comme un livre ouvert. Dans la chambre de Rowland, un lit avec une jolie blondinette dedans, un étui de capote à droite, des restes de joints et d’alcool à gauche. L’idiote, elle dormait, pendant que Clyde était perdu dans son esprit aussi vague fut-il. Il réagit à la voix de son interlocutrice, et loin d’être surpris. Il s’en doutait, probablement. CLYDE - Tu t’attendais à quoi Wilkins ? DARCY - A rien, apparemment. Bravo ! Et dire, qu’hier c’était moi. La routine n’est pas fatigante au moins ? CLYDE - Je m’en sors très bien, merci de t’en préoccuper. Elle n’aurait pas du. Au beau matin elle avait prononcé les trois mots qui font fuir : « i love you ». Ces trois mots qu’elle n’avait encore jamais dit. Ni à son grand frère, ni à ses parents, ni à ses ‘amies’. Elle les avait gâché, pour un bon rien, violent qui plus est. Clyde avait déjà quelques fois, donné quelques coups à la belle, qui les ignorait. Elle n’aurait jamais dû aller à ce squat à Oxford, elle n’aurait alors jamais rencontré le jeune riche d’Oxford, le fils imparfait. Darcy sortit de sa poche un joint qu’elle alluma. Après avoir prit deux lattes, elle se tourna vers le brunet. DARCY - Clyde, clyde. Tu es d’un pathétique ! C’est comme ça que tu te caches, en offrant ton lit à toutes les jolies filles ? Je n’aurais pas du te laisser entrer dans le mien et cela fait un an. Un an, de tromperies, de mensonges. J’en ai assez. Je pars Clyde, je m’en vais. Je n’en peux plus de cet infâme jeu pervers. Tu m’as changé, trop même. Je ne sais plus qui je suis, je suis plus la jolie fille dont personne ne connaissait rien, je n’aime pas qu’on connaisse ma vie. CLYDE - Soit discrète sur ton passage, veux-tu ? Clyde attrapa le doux poignet de la jeune fille et y effectua un petit pression, il ne voulait pas que sa dernière conquête connaisse l’histoire, ce serait bien dommage de la quitter. Cette petite tête innocente. Wilkins termina son joint lança le reste à travers la fenêtre. Il l’avait déçue, et peut-être n’arrivera-t-elle jamais à l’oublier. Mais Darcy qui cache tout refuse d’être dépendante, faible ; le seul moyen de se retrouver était de partir, partir loin de sa faille : Clyde Hunter Rowland.
Dernière édition par Darcy Ann Wilkins le Jeu 17 Sep - 21:01, édité 1 fois
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Sujet: Re: « ce ne sont pas les êtres parfaits qui ont besoin d'amour, ce sont les imparfaits. » (m) (libre) Mar 15 Sep - 18:09 |
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Personnage terminé
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Sujet: Re: « ce ne sont pas les êtres parfaits qui ont besoin d'amour, ce sont les imparfaits. » (m) (libre) Ven 18 Sep - 19:57 |
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Clyde est lààà. Fin, si on veut bien de moi.
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Sujet: Re: « ce ne sont pas les êtres parfaits qui ont besoin d'amour, ce sont les imparfaits. » (m) (libre) Sam 19 Sep - 12:41 |
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Je veux bien de toi, évidemment !
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Contenu sponsorisé
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Sujet: Re: « ce ne sont pas les êtres parfaits qui ont besoin d'amour, ce sont les imparfaits. » (m) (libre) |
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